Seaskak azken urteetan 100-150 ikasle gehiago sartze bakotx

2013-2014 ikasturtea biziki gogorra izan da Seaskarendako. Hendaian hasi zenak Beskoitzen ukan zuen segida eta ondotik Hazparneko lurraldean barna hedatu ziren mehatsuak. Baina erasoen aitzinean beldurtu gabe, urte luzetan eraiki dugun ikastolen Etxea defendatzen jakin dugu, mobilizatuz eta elkartasunez, indartsuago jalgitzen gara gatazka horietatik. Aurten hastapen lasaiagoa espero genuen, baina dakizuen gisan ikasturte berri hau arranguraz beterik hasi dugu Ziburu aldean. Sartzea orokorki aipatuko dugu eta gero nahi baduzue itzuliko gira Ziburuko egoera aipatzerat.
Irail huntan 3 200 ikasleen heina gainditu dugu. Ikasle horiek euskaldun izan daitezen, baldintza egokietan lan egitea da gure xede bakarra. Horretarako ikastolak sortu eta handituko ditugu. Eta hori ahalbidetzeko, murgiltze ereduaren eta euskararen aldeko lege bat lortzeko lanean segitu beharko dugu ikasturte berrian ere.

Tartaro s’est étonné :

●●● pas tant que ça que, pour écarter EH Bildu dont c'était le tour cette année, le très UPN maire d'Iruñea ait confié le soin d'allumer le txupinazo à Enrique Martinez, président de la Croix rouge de Navarre. Après la bannière l'an passé, la croix cette année.
●●● et réjoui que le même Enrique Martinez ait ouvert les fêtes en lançant pour la première fois en euskara du haut du balcon de l'ayuntamiento “Iruneko seme alabak, gora San fermin!”. Ce n'est plus Martinez, c'est Martinbai.

Bateragunea

Arnaldo Otegi, Rafa Diez, Sonia Jacinto, Arkaitz Rodriguez et Miren Zabaleta, les cinq condamnés du procès Bateragunea, resteront en prison. Ainsi en a décidé le Tribunal constitutionnel espagnol en rejetant, le 22 juillet, l’appel interjeté par les avocats des condamnés.
Ils devront donc effectuer la totalité de la peine infligée par le tribunal suprême, 6 ans et demi pour les deux premiers, 6 ans pour les trois autres. Par ce rejet, le tribunal constitutionnel a également confirmé les 10 ans d’inéligibilité infligés à Otegi et Diez, 8 ans aux trois autres dirigeants de l’ex-Batasuna.

La collectivité, toujours !

L'Edito du Mensuel Enbata - Le 8 avril 2014, dans son discours de politique générale devant l’assemblée nationale, le nouveau premier ministre, Manuel Valls, déclenche le big bang territorial qui ébranlera pour des décennies l’armature politico-administrative de la France. Ceci ne figurait pas dans les 60 engagements du candidat Hollande. Avec une rapidité stupéfiante, peu conforme aux jeux politiques traditionnels, ce grand chambardement se met démocratiquement en place.
Face à cette conjoncture instable et innovante, resserrons nos forces. Pourquoi les abertzale, qui impactent comme jamais la société basque, pèseraient-ils moins aujourd’hui qu’en 1981? Nous portions alors, seuls, la revendication du département Pays Basque.

Carnavals en été

Le MUCEM, Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée, présente à Marseille une superbe exposition sur les carnavals et les mascarades du continent européen et du Maghreb, intitulée "Le monde à l'envers".
Phénomène culturel oublié, dénigré, voire réprimé, les carnavals suscitent aujourd'hui un intérêt grandissant, souvent sous l'impulsion de militants culturels qui, depuis des décennies, s'attachent à les faire revivre.

Monsieur le sous-préfet

Ustaritz qui est présumé coupable, pour avoir déclaré officielle notre langue, au même titre que le français. “Présumé”, car ces élus jouissent bien sûr de la présomption d'innocence jusqu'à la décision du tribunal.
Le dernier des béotiens sait que cette déclaration ne portera aucun tort à la langue de Molière. Tous les Uztariztar continueront à manier le dialecte d'Ile-de-France avec autant d'aisance qu'un indigène d'Aubervilliers ou d'Evry. Sans doute avez-vous reçu des ordres de Paris où l'on a une perception assez curieuse du Pays Basque.

Elan de solidarité

Les immens es dégâts causés par les inondations hypothèquent la survie du Pays Basque intérieur.
Grands élus, présidents de communautés d'agglomération ou de communautés de communes sont invités à être chefs de file, au sein du Conseil des élus, dans la mise en place d'un fonds de développement permettant le redémarrage des entreprises touchées si durement.

Cherchez l’erreur

La loi Duflot vient de permettre pour la première fois d’instaurer une taxe au logement vacant s’élevant de 1.2 à 1.7% de la valeur locative. Il y avait en 1999, selon l’INSEE, 1.890 appartements inoccupés à Bayonne. Aujourd’hui, seul un millier a été recensé par les services de l’état, dont 500 pour des raisons diverses échapperont à la pénalité.
Le logement est un droit mais encore de traviole !