Catégorie : Tartaro s’est étonné

●●● que Bayrou appelle "tous les acteurs économiques de l’agglomération" de Pau à prendre l’avion le plus possible, pour aller à Paris- Orly. L’ex-préposé au plan a oublié qu’une ligne TGV directe relie Pau à Paris en 4h20.

Un nouveau militant anti-LGV ? (...)

●●● que Maider Arosteguy invoque les "milices wokistes" responsables du jugement contre le nom raciste du quartier La Négresse.

En proposant deux noms de remplacement liés à l’argile, l’édile biarrote place le débat public plus bas que terre. (...)

●●● qu'Imanol Pradales et Alain Rousset écrivent au commissaire européen aux transports Apostolos Tzitzikostas pour se plaindre du retard du dossier LGV.

Un train en retard, rien d’étonnant. Mais pour une fois, c’est une bonne nouvelle ! (...)

●●● que Marc Aillet refuse d'ouvrir les archives du diocèse dans le cadre des enquêtes liées aux abus sexuels sur mineurs à Bétharram.

Lui qui prétendait protéger les enfants en s'opposant au Mariage pour Tous... (...)

●●● qu’à quelques jours de la commémoration des 80 ans du camp d’Auschwitz, Emmanuelle Brisson signe une tribune dans le journal d’extrême droite Valeurs Actuelles contre un groupe antifasciste.

LR, RN… les digues tombent et la pente est glissante. (...)

●●● et réjoui que l’État soit condamné à verser 836 000 € à la CAPB pour financer le centre Pausa. Le tribunal reconnaît "une carence de l’État" dans ses compétences.

Les carences de l’État, ça coûte "un pognon de dingue" ! (...)

●●● que le roi d’Espagne Felipe VI refuse de participer à la première commémoration du 50e anniversaire de la mort de Franco et du retour de la démocratie.

Qu'est-ce qui le chagrine, la mort de Franco ou le retour de la démocratie ? (...)

●●● et réjoui du calendrier des sapeurs-pompiers du BAB qui présentent une superbe photo de la Korrika.

Pour la langue basque, ils entretiennent la flamme. (...)

●●● que Macron exige contre la décision des Architectes des Bâtiments de France que les vitraux intacts de Notre Dame de Paris soient remplacés moyennant 4 millions d'euros. Pendant ce temps, l’Etat ne file pas un rond à l'Office public de la langue basque.

L'euskara bientôt in vitro ? (...)