Opinion
Du plaisir à croquer
La Korrika ne se regarde pas, elle se vit. Et ne vit que par la participation active des coureurs.
Chacun-e choisit de donner ce qu'il/elle peut d'énergie et de sueur. Chacun-e choisit ses lieux, ses moments pour fournir son effort. Et la magie fonctionne. La symbolique du témoin transmis de mains en mains, la carte du pays de la langue basque qui se dessine jour après jour, un sentiment de solidarité aussi concret que joyeux.