Catégorie : Comprendre
ComprendreActualitésChroniquesFocusAnglet en Pays Basque
Anglet et ses 40.000 habitants, a doublé sa population depuis la guerre. Son identité est mal définie entre ses deux voisines Bayonne et Biarritz. Jusqu’ici dirigée par le centre et la droite, voilà que la gauche s’est emparée, lors des dernières élections de 2008, de la municipalité d’Anglet portant à sa tête un maire socialiste, Jean Espilondo. L’option basque est portée par un groupe actif d’action municipale “Angeluzain” dont le président Iñaki çaldumbide et le conseiller municipal d’opposition Mikel Ithurbide, tous d’eux membre d’AB, répondent aux interrogations d’Enbata.
Michel Hiriart : « La réforme des collectivités amènera une simplification administrative »
Le maire de Biriatou et président de la Communauté de communes Sud-Pays Basque, membre de l’UMP, euskaldun et ancien pilotari, est fortement engagé contre la LGV. Il présente une appréciation opposée à celle de son collègue Alain Iriart (Enbata n°2145) sur la nouvelle architecture des collectivités territoriales.
Le PNV pivot et rassembleur
Alderdi eguna: la 34e fête du parti aujourd’hui dans l’opposition a permis à son leader de positionner sa formation à un moment complexe de mutation de la carte politique basque
Seaska répond au préfet
Le 7 septembre 2010, le préfet des Pyrénées-Atlantiques adressait aux maires du département une circulaire rappelant qu’aucune aide ne peut être apportée aux établissements d’enseignement privés par les collectivités territoriales, hormis les exceptions prévues par la loi pour les établissements liés à l’Etat par contrat.
La circulaire vise directement les aides apportées sous formes diverses aux ikastola et aux calendretas par les communes. Le préfet menace les contrevenants de la perte du bénéfice du FCTVA.
Nous publions ci-dessous la réaction du président de Seaska.
Trente ans d’Ossau-Iraty par Francis Poineau
Trente ans de résistance et de prise en charge par les acteurs locaux de la filière laitière ovine.
Cessez-le-feu d’ETA
EA, AB, Aralar, Batasuna et Alternatiba demandent
à ETA un cessez-le-feu permanent, unilatéral et vérifiable par la communauté internationale.
ETA ajoute qu’il est prêt à déclarer un cessez-le-feu de cette nature, mais suspend sa décision à des conditions politiques du ressort du gouvernement espagnol.