L’occupation des terres agricoles d’Arbona rentre dans une nouvelle phase

ELB & LURZAINDIA - Au 17ème jour d’occupation des terres agricoles d’Arbonne, devant l’absence d’ouverture des négociations avec le vendeur et l’acheteuse, ELB et Lurzaindia entrent dans une nouvelle phase.
ELB et Lurzaindia donnent rendez-vous mardi 13 juillet à 11h30 à Arbonne pour un moment fort qui permettra d'assister à une montée en puissance de la mobilisation de l’occupation. (…)

Abertzaleak berriz Pauerat itzultzen dira

EHBAI - Igande honetan, gure bozak gora egin dute presente ginen 7 kantonamenduetan. Kantonamendu hauetan lortutako emaitzek, urte luzeetan kolektiboko eramandako lanaren emaitza dira. (…)
Hauteskunde departamentaletako bigarren itzulian, 23.505 izan dira EHBaien aldeko botoa eman dutenak 7 kantonamenduetan! Emaitza guziak herrika eta kantonamenduka, jarraian atxemanen dituzue. (…)

Arbonne : stop à l’accaparement de la Terre nourricière !

ELB–LURZAINDIA : Le syndicat ELB a appris par le biais de la notification de vente reçue par la SAFER qu’un bien agricole comprenant une maison d’habitation en cours de rénovation et des parcelles agricoles d’un peu plus de 15 ha étaient en vente à Arbonne. L’acheteuse est une riche retraitée, qui vient de se défaire de 30 ha avec habitation sur la côte basque pour la modique somme de 12 millions d’euros. ELB constate d’une part qu’il n’y a pas de projet agricole alimentaire, l’acheteuse souhaitant utiliser les terres agricoles pour un usage d’agrément pour ses chevaux.
En tant que défenseurs de la terre nourricière nous dénonçons l’accaparement de la terre par des non paysans, qui lui font perdre sa vocation nourricière. D’autre part, ELB estime que le prix spéculatif de ce domaine agricole est inabordable pour un paysan qui voudrait y mener une activité agricole. Par cette action d’occupation du terrain, le syndicat ELB et LURZAINDIA et toutes les personnes et mouvements qui s’y associent souhaitent dénoncer la multiplication de ventes de terres agricoles et d’anciennes habitations agricoles à des non agriculteurs, à des prix spéculatifs. (…)

Véronique Duprat et Mixel Esteban n’appellent pas à voter Henri Etcheto

Au premier tour des élections départementales dans le canton de Bayonne 3, les candidats Mixel Esteban, Véronique Duprat, Isabelle Labadie-Lemière et Xan Ansalas sont arrivés en 3ème position au premier tour. Ils ont totalisé 882 voix, soit 16 % des voix. Ils ne se désistent pas en faveur du candidat PS Henri Etcheto pour le second tour. Le communiqué de Véronique Duprat et de Mixel Esteban sonne même comme un appel à ne pas voter pour lui si l'on tient compte des 2 premiers points qu'ils mettent en avant comme "leur tenant particulièrement à cœur" dans leur projet : le refus de la LGV et une collectivité territoriale Pays basque associant les compétences du Conseil départemental et de la CAPB, et élue au suffrage universel.
On sait que le leader PS Henri Etcheto, dont le parti a refusé l'alliance avec les Verts au niveau régional, est quant à lui favorable à une voie nouvelle LGV et résolument opposé à une collectivité territoriale Pays basque. Après la consigne d'EHBai qui écartait implicitement la possibilité d'appuyer Henri Etcheto, celle des Verts et de Générations est donc un coup dur de plus pour celui que certains surnomment "la machine à faire perdre la gauche bayonnaise". (…)

EHBAI, 2ème force politique d’Iparralde

EHBAI - Les résultats du 1er tour des élections départementales de juin 2021 ont placé EHBAI comme deuxième force politique d’Iparralde. Ces résultats sont à apprécier en toute humilité au vue du taux très fort d’abstention. Ils nous placent aussi face à de nouvelles responsabilités vis-à-vis de la population, celles de peser fortement sur la future majorité départementale et in fine sur les politiques qui seront menées.
Si aucun soutien ne peut être envisagé aux candidatures de la droite et du centre, nous ne pourrons non plus soutenir une gauche qui s’oppose à une évolution institutionnelle du Pays Basque Nord ainsi qu’à une reconnaissance officielle de l’Euskara. (…)

Bizi se retire du Comité Partenarial du Plan Climat Pays Basque

Bizi a annoncé son retrait du Comité Partenarial (Copar) du Plan Climat-Air-Energie Territorial (PCAET) Pays Basque, lors de la dernière réunion de celui-ci, qui s'est tenue le jeudi 20 mai 2021 à Bayonne.
L'association, travaillant sur les questions climatiques depuis 2009, a expliqué cette décision difficile par l'arbitrage pris par l’exécutif de la Communauté d’Agglomération Pays Basque (CAPB) renonçant à l'objectif de neutralité carbone pour son Plan climat. (...)

Maintenir le rapport de force pour développer les mobilités douces

Ce jeudi 22 avril, à l'occasion de la journée internationale de la terre, Bizi et Txirrind'Ola appellent à accélérer la transition vers des mobilités préservant le climat et la santé publique.
A 10h30, les automobilistes étonnés pouvaient voir 3 vélos à pistes cyclables auto-portées tourner en boucle autour du rond-point de la Butte-aux-cailles sur le boulevard du BAB. Le premier était piloté par une jeune fille figurant la porte-parole internationale des jeunes pour le climat, Greta Thunberg, pendant que suivaient deux cyclistes aux masques de Joe Biden, président des Etats-Unis, et Jean-François Irigoyen, président du Syndicat des Mobilités Pays Basque-Adour. (...)

Klimarentzat ez da musik!

Igandean, martxoaren 28an, frantses Diputatu Biltzarrean “Klima eta Erresilientzia” lege proiektua eztabaidatua izaiteko egunaren bezperan, Martxa bat abiatu da Angeluko Herriko Etxetik Florence Lasserre anderearen Diputatu egoitzara.
430 pertsonek Biziren eta Estatu mailako 600 erakunderen deiari erantzun dute beren diputatuei erronka ekologikoen mailako funtsezko Klima Lege bat fermuki galdatzeko (...)

L’éducation nationale : un frein permanent à l’épanouissement de la filière bilingue

Laida Etxemendi et Amaia Boloquy, membres de l'association Euskara Geroan - Si on veut former des locuteurs complets, il faut retrousser ses manches, proposer des DNL (disciplines non linguistiques) en basque avec des moyens appropriés. Par contre si on préfère le statut quo actuel qui a montré ses limites en terme d’aisance dans la langue basque, alors on sort les freins.
La transmission du basque dans le service public passe par une consolidation de cette filière. Il y a des besoins, il y a les postes, il y a les enseignants formés. Il manque la volonté politique de l’éducation nationale. (...)