Berrogoi ta hamar urthez Enbata etxean astero

Les lignes qui suivent sont dictées par l'affection que je porte à ce vieil hebdomadaire lu pas à pas depuis quarante-huit ans. Pendant longtemps, j'ai pensé qu'Enbata constituait une bonne image de la question basque au nord.
Mais revenant de nombreuses années plus tard, venant vous saluer, j'ai pu constater qu'il y avait une autre vie qu'Enbata. J'avoue en avoir ressenti un certain dépit. C'est que j'avais compris le sous-titre “Hebdomadaire politique basque” au sens de “toute la vie politique basque”.