« Tout dire »

Le Pays-Basque est un pays en marche, une marche en avant certaine malgré la crise et qui possède, du moins au Sud, l’infrastructure nécessaire à son développement, y compris sur le plan linguistique avec la longue marche d’une “langue qui veut tout dire.”
Il n’en est pas de même au Nord, tout en reconnaissant des avancées certaines, comme l’acceptation que l’euskara soit langue d’enseignement.

Dénigrement

Qui mieux que les Basques peuvent refuser l’abaissement d’une langue maternelle par l’instillation d’expressions étrangères ? En expert, Jean Haritschelhar défend le bon usage du français.
"Le dénigrement est la base même de la politique politicienne, singulièrement utilisé par les oppositions, qu’elles soient de droite ou de gauche selon les résultats des diverses élections. On ne fait pas dans la nuance, on cogne, on veut avoir verbalement le dessus, triompher, mettre l’adversaire à terre.(...)En un mot, le “bashing” ou encore le “dénigrement” marque l’absence ou le renoncement à la démocratie. "

Soi-disant modernité

Alors que la tempête politico-médiatique causée par le mensonge de Jérôme Cahuzac semble peu à peu s’éloigner, Jean Haritschelhar revient sur la responsabilité des politiques et des citoyens dans le climat délétère actuel, symptôme d’une société française malade de ses insuffisances.
"J’ai bien peur que ces 66% de Français qui pensent être des démocrates propres soient en mesure d’accepter l’arrivée au pouvoir d’un dictateur “vertueux” qui les débarrasserait de la pourriture ambiante, à coups de balai assurément."

Gauden gu

“On ne va pas créer une révolution pour le Pays basque ».
Bien entendu, tel qu’il est écrit avec la minuscule pour l’adjectif basque, ce serait une véritable révolution que de l’écrire avec une majuscule Pays Basque. Il semblerait que le dit pays ne soit pas en odeur de sainteté dans les hautes sphères de cet Etat-nation qu’est la République française.

L’effet Bilbao

Par Jean HARITSHELHAR - Harry Bellet souligne à quel point les créateurs et ac-teurs du Louvre-Lens avaient en tête le modèle de Bilbao.
il serait bon que nos dirigeants reconnaissent qu’il existe aussi un “modèle basque”