Au Hameau du Plantoun à BAYONNE, le laboratoire expérimenté in-situ du «mal-logement» !

Le mal-logement est un néologisme couramment employé pour définir soit la situation d'insalubrité ou de précarité de personnes dans le logement qu'elles occupent soit la situation de personnes qui aspirent à un logement.
Pendant les fêtes de Bayonne, à partir de 17 h, le samedi 27 juillet 2013, les squatteurs du Hameau de Plantoun nous accueilleront dans leur nouvelle maison pour parler de la situation du «mal-logement» et nous inviteront à rejoindre ou soutenir leurs luttes pour le droit au logement pour tous et toutes.

Besta bai…

Uda, festibalak, bestak, oporrak, aro ederra, mendia hondartza… Baina lanik gabe denarentzat zaila.
Alde batetik langileen bizi eta lan-baldintzak gero eta zailago eta arriskuan; bestaldetik, kontsumismo basan sartuak diren musika eta festa jaleak (nolabait definitzeko). Baliatu eta bota. Janaria, jantziak, puskak edota jendeak ere bai: bai lantegietako botagarri bilakatuak diren langileez mintzo garelarik...

Gure zerbitzari…

Izan dira azken denbora hauetan ere gertakari eskandalagarriak gure alderdian. Idikia ez zen zaldikia sakatu da egina prest saltzen diren plat batzuetan. Inkestak agerian eman du janariaren inguruan ahalgingarria den trafikua badela, erosleen errespetu mikorik gabe.
Haragiak bide izigarriak egiten ditu munduan, landua izanen den tokirat heldu aitzin; hainbeste itzuli nun arribatzean, lantegietan ez dakiten haragi hori zer den, etiketak histuak izanki, zenbakiak eta kodeak ez untsa ageri…gaixo inoxent batzu enganatuak izaiteraino… Hara ahalgerik gabe zerbitzatua izan zaikun teoria…

Une deuxième fois

"Cette crise n'est pas celle de 29, cette crise n'est pas une crise du capitalisme, cette crise est la dernière du capitalisme, qui est allé au bout de sa libido d'ogre." Eric Hobsbawn
La question, comme disait André Gorz, n'est pas de savoir si on sortira de ce capitalisme. La question est de savoir comment on en sortira : par la barbarie, ou pas.

Santé !

En pleine forme, Jean-Marc Abadie brocarde notre hôpital rénové dont pourtant nous avons tous besoin. Qui aime bien… D’autant que la critique pertinente porte à l’excellence. 
"Avec la santé, le capitalisme s’attaque à un pilier de la solidarité, à la qualité des services rendus aux patients. Nous sommes tous concernés."

Deux ans de perdus ?

L’amendement surprise déposé au Sénat par la sénatrice socialiste Frédérique Espagnac a pris de court les défenseurs de la Collectivité territoriale à statut particulier pour le Pays Basque.
Pantxoa Bimboire aborde ici des questions que l’amendement soulève et quelques-unes des conséquences qu’il pourrait entraîner.

C’est le 2000e utilisateur de l’eusko !

Xabi Bidart, 25 ans, restaurateur à Banka, a adhéré parce que l’eusko propose un autre rapport à l’argent, avec une relocalisation de l’économie, et surtout des consciences.
«Je trouve ce système super : les commerçants perdent 5% s’ils rechangent leurs eusko en euros, c’est pas grand chose mais c’est assez pour les inciter à jouer le jeu, à faire circuler leurs eusko, et en plus c’est ça qui finance les 3% aux associations !»

Il n’y aura pas de voie nouvelle LGV Bordeaux-Hendaye ! La lutte paie, l’engagement paie.

Le premier ministre Jean-Marc Ayrault a fait siennes les conclusions du rapport de la commission 21. Le projet de voie nouvelle LGV est renvoyé aux calendes grecques, après 2030.
Dans ce petit Pays Basque nord d'à peine 300 000 habitants, en une quinzaine d'années, l'engagement et la lutte ont réussi -entre autres- à empêcher un projet de 2X2 voies de balafrer le Pays Basque intérieur, un multiplexe de défigurer le Petit Bayonne, un Etat tout puissant d'interdire la chambre d'agriculture alternative du Pays Basque et maintenant la saignée d'une voie nouvelle LGV.