Gezurretik… egia

Aburu ikerketak baieztatzen badira, Podemos garaile ateratzekotan da udazkeneko legebiltzar espainiarrerako hauteskundeetan.
Garaipen horrek aldakuntzarik ekar ote lezake Madrilen Euskal Herriarenganako politikan? Madrileko prentsa neo-frankistak atera berri dituen artikulu batzu, fantasma hutsak ala aurreikuspegiak?

Orekaren balada

en Enbata Hilabetekariko Sar Hitza - Politikan dabilenak ekilibrista lanak egin behar izaten ditu, maiz; bereziki akordio politikoa bilatu nahi denean. Adostasunak nekez eraikitzen dira, eta aise suntsi daitezke: aski da harrixka bat mugitzea, etxe guztia erortzeko.
2015ean, frantses alderdiak hurbildu dira gehiago abertzaleen posturetara, ala frantsesek abertzaleak epelarazi dituzte gehiago?

Le souci économique

Toujours préoccupé par le développement d’Iparralde, je me pose de nombreuses questions sur les engagements économiques des candidats abertzale aux élections du 22 et 29 mars.
S’il faut se féliciter de la revendication réaffirmée de la collectivité territoriale spécifique, on peut déplorer le manque de lien avec les forces économiques qui ont généré des initiatives telles que Herrikoa, Ehlg ou encore l'eusko.

En recherche de légitimité

L'Edito du mensuel Enbata - Exercice entièrement nouveau, les élections départementales des 22 et 29 mars bouleversent les habitudes. Sont-elles la continuité des cantonales pourvoyant les Conseils généraux? Apparemment oui, mais il ne s'agit plus des mêmes cantons, le scrutin uninominal est devenu bi-nominal et paritaire, l'assemblée départementale est désormais renouvelée pour six ans en son entier et non par moitié tous les trois ans.
Ses compétences seront restreintes mais toujours pas définies par la loi en cours d'élaboration qui changera jusqu'à son nom.

Le vote abertzale, un vote militant ?

Le vote militant des débuts de l’abertzalisme a changé de nature sans cependant marquer de rupture. Le vote militant existe toujours, mais il est noyé dans un vote plus large qu’il ne contrôle plus, qui lui octroie de plus en plus de succès éclatants, mais pourrait lui faire aussi connaître des reflux.
Les 22 et 29 mars, il faut compter sur la mobilisation de toute notre mouvance.

Chronique d’une haine ordinaire

On a tout dit, tout écrit, depuis bientôt 30 ans que l’extrême droite monte, doucement mais sûrement en puissance au fil des élections. On peut mettre en exergue l'inculture politique, la démission éducative familiale, la chute des idéologies et son corollaire l'individualisme, le manque d'esprit critique dont est notamment chargée l'école, la crise sociale et économique, la pauvreté intellectuelle avec comme 1ère conséquence la théorie du bouc émissaire…
Il ne faut rien laisser passer, dans les mails ou les repas de famille ou d'amis, qui donnerait prise à tout ce qui pourrait être considéré comme une forme d'insulte à l'intelligence... Le racisme, l'antisémitisme, l'homophobie, la misogynie ou la misandrie, la généralisation, le discrédit des politiques, l'assimilation, l'uniformité, les solutions simples à des questions complexes, le cocorico et le kikiriki, le colonialisme, la marche au pas ou le non respect des différences...

Parler pour ne rien dire…

Je sais bien que les divers événements tragiques de ce début d’année poussent à soutenir le droit d’expression dans toutes ses formes. Et je soutiens, bien évidemment, l’idée que les caricatures et les satires ont toutes leurs places dans cette expression et qu’elles sont souvent nécessaires à un processus de réflexion, soit par la provocation qu’elles produisent, ou la critique qu’elles véhiculent…
Mais il est aussi parfois difficile de rester fidèle à ses convictions. La «Lettre ouverte au président du Conseil des élus du Pays Basque» de Colette Capdevielle a provoqué chez moi cette difficulté que j’évoquais juste avant…