Tribune Libre -
Laida Etxemendi et Amaia Boloquy, membres de l'association Euskara Geroan - Si on veut former des locuteurs complets, il faut retrousser ses manches, proposer des DNL (disciplines non linguistiques) en basque avec des moyens appropriés. Par contre si on préfère le statut quo actuel qui a montré ses limites en terme d’aisance dans la langue basque, alors on sort les freins.
La transmission du basque dans le service public passe par une consolidation de cette filière. Il y a des besoins, il y a les postes, il y a les enseignants formés. Il manque la volonté politique de l’éducation nationale. (...)