Opinion
Un magistrat français emprunte le « hil bide » de sa victime
«Nous autres serviteurs du droit», ainsi se présente le narrateur du dernier livre de l’écrivain François Sureau, Le chemin des morts. Il nous raconte l’histoire d’un jeune haut fonctionnaire, auditeur au Conseil d’Etat au début des années 80.
L’homme siège à la commission des recours des réfugiés, chargée d’accorder ou de refuser aux demandeurs d’asile le statut de réfugiés.