Anaphore

J’aurais tant voulu que Sarkozy soit réélu président de la république française en 2012. Son gouvernement aurait naturellement pensé à faire ce même type de projet de loi travail présenté aujourd’hui par un gouvernement dit de gauche alors que ce n’est qu’une “déforme” —que l’on taxe faussement de réforme— imposée par une caste très éloignée du salariat et ne représentant qu’une partie du PS.
Mais le mal est fait : c’est “la gauche” ici qui est incriminée et qui, sans aucune concertation et alors même que ce n’est absolument pas une proposition de campagne, détricote le droit du travail en facilitant un peu plus la possibilité de licencier et en faisant primer des accords d’entreprises sur des accords de branches que sont les conventions collectives, lesquelles protègent un peu plus les salarié(e)s que le droit du travail.

Une belle victoire de la démocratie et du Pays Basque : Mobilisons-nous pour la célébrer et la préserver !

La Fondation Manu Robles-Arangiz appelle la population du Pays Basque à célébrer comme il se doit le vote historique des communes d'Iparralde au sujet de la création d'une Communauté Pays Basque Herri Elkargoa.
Pour cela, nous invitons tout le monde à se retrouver lors du rassemblement festif organisé par Batera le mercredi 27 juillet à 19h00 à Bayonne.

Pour un projet de territoire

La problématique du logement dans un Iparralde dont la population s’accroît rapidement par de nouveaux arrivants est un débat récurrent, y compris parmi les abertzale. Construire toujours davantage? Limiter l’urbanisation? Surtaxer les résidences secondaires vides dix mois sur douze?
Voici quelques réflexions.

Pourquoi ?

Roberto Moso, Zarama taldeko kantaria eta kazetaria - Baionako jaietan nengoelarik, joan den udaran, atentzioa eman zidan abertzaletasunaren ikurrak –edo mugaren alde honetatik halakotzat ulertu ditugunak– nonahi agertzen zirela. Areago: Euskadi deitura, hemendik nahiko ofiziala bihurtu dena, erraz ikus zitekeen ikurrina ugarietan eta jai-zapietan. Ikurrina, bide batez esanda, udaletxean zegoen gainerako banderekin batera, inolako eztabaida sortu barik. Hori bai, frantsesa eta gaztelania euskara baino askoz gehiago entzuten zen, izan ere bakarrik zenbait plaza talderen abestietan eta AEKko egoitzan entzun nuen.
Hala ere, informazio ahuleko bisitariren batek nahiko giro nazionalistan murgilduta geundela suma zezakeen, bertako hauteskundeetan horrenbeste igartzen ez dena.

Le mépris

Les urnes ont parlé: 111 communes sur 158 (70%) se sont prononcées en faveur de l'EPCI Pays Basque. Mais les opposants n'entendent pas désarmer à bon compte.
Les Alzuri, Veunac, Olive, Gonzalez et autre Lasserre vont-ils respecter le résultat très majoritairement favorable à l'EPCI unique ou tenter de faire capoter le processus ?

Abian

Berrikitan Sortu, ezker abertzaleko alderdi nagusiak, bere barne gogoeta lana bukatu du. Hilabateetako ausnarketa eta eztabaiden ondotik, Abian deitzen den txostena onartu dute kideek, hemendik aintzina ardatz estrategikoak definitzen dituen dokumentua.
Hara hemen lan horri buruzko irakurketa bat.

A bout de souffle !

Le système politique est à bout de souffle dans l’état français et la période troublée que nous traversons, démontre que la démocratie est en danger et que nous pouvons tout imaginer lors des prochaines échéances.
Perte de légitimité, perte de confiance, certitude que la République n’est plus “le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple”, le quinquennat de François Hollande nous aura ôté nos dernières illusions !

« Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens »

Txomin Davant - Pour que les bons peuples comprennent une fois pour toute, Jean-Claude Junker les avertit « Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens ». Comme le disait un certain Paquito « todo está atado y bien atado ».
Tous ceux qui prennent conscience de leur confinement dans ce corral politique sans débat possible, sinon pour le choix d’un proconsul, en tirent pour conclusion qu’il ne sert à rien de faire semblant de s’intéresser aux jeux politiques, ou bien ils s’orientent vers des options dont ils attendent le blocage du système. Les qualifier de « populistes » et faire comme si le problème qu’ils posent n’existait pas est-il une solution viable ?