Une communauté est en train de naître

C’est la commune de Saint-Pierre-d’Irube qui avait ouvert le bal des communes favorables au projet de Communauté Pays Basque. Auparavant, dès le premier jour de cette phase de consultation, Armendarits avait voté contre. Depuis, chaque jour, des élu-e-s municipaux se sont réunis dans leur mairie pour mener un débat autour de la future carte de l’intercommunalité. Grâce au tour d’Iparralde réalisé par le Conseil des élus, avec une réunion d’information dans chacune des dix intercommunalités actuelles, les élu-e-s avaient eu l’occasion de découvrir les changements majeurs qui se profilent et en particulier la proposition de structurer une seule intercommunalité sur l’ensemble du territoire.
Avec 72% des communes d'Iparralde favorable à une EPCI Pays Basque unique, le signal envoyé par les communes est clair, Iparralde veut passer un cap, et aller vers une structuration du territoire dans l’intérêt de ses habitant-e-s.

Arma-lurra

Gerla Hotza noizpait gelditu al zen? Usteak erdi ustel! Bai, bai, justu "erdi" ustel. Orain Errusia Frantziarekin adixkide da! Putin! (frantses eskla-mazioa). Baita Amerikako Estatu Batuekin ere mintzo da Putin! (errusiar eskla-bista). Gerla Hotza, nahi den lekuan epeltzen eta behar den lekuan ormatzen.
Agintariek maska berriak janzten dituzte: ongi etorri Obamazke! Oe Oe... Barka... Ta hori guzia maskatasunaren izenean.

COP21 : Climat, la mère de toutes les batailles

Jon Palais, militant de Bizi!, d’Alternatiba et d’Action Non-Violente COP21, est très impliqué dans la dynamique Alternatiba depuis 2013.
Alda! fait un point avec Jon (déjà à Paris avant et aussi pendant la COP21) sur l’importance de la mobilisation citoyenne malgré l’état d’urgence. Plus que jamais, il nous faut rester “Debout et déterminés pour le climat”.

Une COP pour rien ?

21ème conférence des parties à la Convention cadre des Nations Unies, la COP 21 de Paris tiendra-t-elle tous les espoirs qu’elle a pu susciter ? Les différentes réunions qui ont précédé la conférence finale pouvaient déjà légitimement suggérer le contraire et cela malgré les affirmations du gouvernement français.
Le 13 novembre, la capitale a connu de sanglants attentats faisant 130 morts et plusieurs centaines de blessés dans une seule soirée. Si on ne peut contester des décisions qui tendent à protéger l’ensemble de la population dans ces moments difficiles, on peut quand même s’étonner que les parisiens soient appelés à continuer à se rendre de manière quasi ostentatoire dans tous les lieux publics, dans les grands magasins, ou encore au marché de Noël. Il est donc surprenant que seules les manifestations citoyennes liées à la COP 21 soient, du moins à ce jour, interdites.

Engaiamendu bideak

Eskualde hauteskundetan hautagai izaiteko engaiamendua hartu dut. Abertzale ez den ezkerreko zerrenda batean nere burua kokatu dut euskaldun, ezkerreko eta abertzale gisa.
Engaiatu naiz abertzale eta sozialista gisa sinesten baitut beharrezkoa dela sustengatzea eta lehenestea ekonomia sozial eta solidarioa bere forma guzietan : insertzioa, elkarte bizia, ekonomia partehartzaile zirkularra eta kooperatiboa bultzatuz.

L’urgence est climatique

Le WE précédant le début de la COP21 a connu de nombreuses mobilisations au Pays Basque et dans le reste de l'Hexagone, malgré les interdictions liées à l'Etat d'urgence. Toutes ces mobilisations ont souligné que l'urgence est climatique.
300 personnes on participé à la mobilisation à Bayonne à l'appel de différents partis et associations dès le samedi 28 novembre. A Paris, ce dimanche 29 novembre à midi, plus de 10 000 personnes ont rejoint la chaîne humaine sur le parcours même de la marche pour le climat interdite. Les initiateurs de cette chaîne humaine, heureux de son succès, appellent au maintien de l'ensemble des temps de mobilisation prévus tout le long de la COP21.

Pourquoi est-on indépendantiste à Hernani et pas à Bayonne ?

Hernani, bastion de l’indépendantisme basque ; Bayonne, capitale d’un Pays Basque à l’épithète « français ». Deux villes, deux visages. Si le titre du dernier livre de Peio Etcheverry-Ainciart (historien et écrivain) circonscrit le propos de manière quelque peu malicieuse à ces deux cités emblématiques, l’objectif est bel et bien de se demander comment l’histoire fait que le Pays Basque puisse présenter aujourd’hui deux visages aussi contrastés au plan politique.
Peio nous raconte via son interview sur Radiokultura.eus comment lui est venu l'idée d'écrire ce livre et nous dévoile (un peu) son contenu ...