Avant l’heure, ce n’est pas l’heure…
En 2013, par la voix du Premier Ministre d’alors, le Gouvernement déclinera, sans plus d’arguments ou de propositions, le souhait clairement exprimé par notre territoire en faveur d'une collectivité territoriale. Telle était la situation jusqu’au 27 juin dernier, date à laquelle le Préfet des Pyrénées Atlantique s’est fait le porte parole de propositions tenant à l’organisation du Pays Basque.
Faut-il que nous doutions à ce point de notre projet pour être tenté de nous engouffrer dans celles que nous propose, sans plus de concertation, le Préfet ? Faut-il que nous doutions à ce point de nos forces pour imaginer une seule seconde que ces propositions auraient été faites si notre projet n’avait pas éveillé quelques craintes au niveau gouvernemental ?