Merci Barcus
Ma tribune du mois d'août «Barkoxeko pastoralaz» a pu surprendre par sa froideur. Le fait est qu'elle précédait la première représentation. Elle situait le caractère collectif de la pièce dans l'histoire de la pastorale très largement dominée par le culte de la personnalité, avec la figure centrale d'un saint, puis d'un souverain français, enfin grâce à Pierre Bordaçarre dit Etxahun-Iruri, d'un héros de l'histoire des Basques.
Mon analyse clinique reposait uniquement sur le texte de la pièce. Elle était donc dénuée de l'émotion que dégage la représentation sur les planches. (...)