Opinion
Nahas mahas
Au moment d’écrire une chronique estivale, forcément légère, comment ne pas avoir ce recueillement naturel envers Ore la Kostalde et Alain le Barnekalde(1) que la faucheuse a rattrapé(e)s à 48 heures d’intervalle alors que le sablier de leur vie pouvait encore égrener bien de temps encore.
Une femme et un homme qui peut être ne se connaissaient pas ou peu, et qui pourtant avaient en commun, outre une approche souriante de la relation humaine, un amour d’un territoire, d’une langue et de ses habitant(e)s que beaucoup nous envient.