Juliette Bergouignan, ce qui nous lie

MILITANTES - Izena duenak izana du, ce qui se nomme existe. Elles assurent la logistique en base arrière ou sont en tête de proue, s’occupent des enfants ou d’une entreprise, suivent le collectif ou s’en émancipent, et parfois tout à la fois.
Enbata souhaite, par une série de portraits, contribuer à rendre visible le rôle des femmes dans le mouvement abertzale. Chacune aborde son parcours personnel, entremêlé avec le combat collectif, sa vision de l’abertzalisme, la place des femmes dans le militantisme : chaque portrait est un point de vue, aussi subjectif qu’universel. (...)

Quitter ou rester ?

Enbata a décidé de quitter X, plateforme devenue un terrain de propagation de haine et de désinformation.
Si ce choix envoie un message fort contre ces dérives, il soulève aussi une question stratégique — est-ce une victoire pour les idées progressistes ou un risque de marginalisation ? — et nous oblige à investir de nouveaux espaces. (...)

L’heure des choix

L'Edito du mensuel Enbata - Du 7 au 30 janvier se dérouleront les élections professionnelles agricoles. Elles ont pour rôle d’élire les représentants agricoles qui siégeront aux chambres d’agriculture. En France, ces structures, véritables outils de développement ou de déstructuration du monde rural, sont quasiment en totalité, et ce depuis toujours, "tenues" par la FNSEA, syndicat qui arrive en tête à chaque élection.
Si le premier syndicat agricole, créé en 1947, a contribué à l’amélioration des conditions de travail et du niveau de vie des paysans, il aura aussi été celui qui a oeuvré à la disparition d’un mode de vie et de savoir-faire, au chamboulement d’une organisation rurale et, au bout du compte, au déclin de la population agricole. De plus d’un million de fermes il y a trente ans, nous sommes passés à moins de 400 000 exploitations agricoles en 2020. Les prévisions anticipent le nombre de 200 000 fermes en France en 2030… (...)

Euskaldun fededun, edo aldaketa klimatikoari aurre egitea

Enbata Hilabetekariko Sar Hitza - Gaurko iritzi honen helburua ez da Eliza katolikoaren eragina eztabaidatzea Euskal Herrian, baina bai gogoetatzea zein izaten ari diren, gaur egun eta etorkizunari begira, sinesmenak edo honela deituko duguna, fedea ere.
Fedearen etimologia hartzen bada, konfiantza hitzari lotua da. Etortzen diren desafioen aitzinean, mugimendu abertzaleak, euskaldun komunitateak bere sinesmenak errotu eta segurtatu beharko ditu. Horrez gain, euskal herritarrek, bereziki Euskal Herrira berrikitan etorri direnek eta etorriko direnek ere, mugimendu abertzaleak eskaintzen duen programaren edo proiektuaren baitan beharko dute sinetsi ondoko urteetan. (...)

Mazango auziaz

Hiru hilabetez iraun du Mazango auziak, Gisèle Pelicotek irekitakoak, urte luzez senarrak somniferoz drogatu, eta berak zein beste dozenaka gizonek 200 bat aldiz bortxatu izana aztergai. 51 gizon epaitu dituzte, senarrak bortxaketen kasuan egon daitekeen zigor gogorrena bildu du –20 urte–, baina besteen zigorrak apalagoak dira, fiskalak galdeturikoa baino apalagoak –nahiz eta bortxaketa edo bortxaketa saiakera erruduntzat jo epaileak–.
Erria.eus-etik. (...)

Egia-ostearen lokatzetan

Diru aski egonez gero posible da hedabide sozial handiena erostea iritziak aldarazteko, zilegi bihurtu da zernahi erratea eta gezurrak lotsarik gabe botatzea. Mesfidantza globala areagotu den testuinguru honetan, instituzionalizatu diren iritzi aurrerakoiek ez dute indarrik: beren helburua ez betetzeaz gain, elitistatzat jotzen ditu elite global berriak, kontraesanen beldurrik gabe.
Lokatz horietatik ateratzea ez da errexa izanen. (...)

Reportage télévisé sur l’art funéraire en Iparralde

BIDEOA - La chaîne locale TVPI présente un court reportage sur l’art funéraire basque de nos trois provinces.
Y sont interviewés Michel Duvert et Jon Etcheverry-Ainchart, deux fondateurs de l’association Lauburu qui travaille depuis 50 ans à la sauvegarde et à une meilleure connaissance de ce pan de notre culture, y compris dans sa dimension immatérielle. (...)

Emmanuel Grégoire et l’Abbé Macron

Emmanuel Macron a déclaré le 14 novembre devant l’Académie Française, qui lui remettait la neuvième édition de son dictionnaire : « Notre nation a été constituée par l’État et par la langue. La langue a été le creuset de l’unité du pays. D’abord de ses textes administratifs, des lois et des jugements prononcés. Elle a été la fabrique d’une nation qui sinon, s’échappait entre ses langues vernaculaires, ses patois ses différentes langues régionales, qui pour nombre d’entre elles existent encore mais étaient un instrument, au fond, de division de la nation ».
J’ai d’abord pensé, M.le président de la République, qu’il s’agissait d’un canular fabriqué par ce que l’on appelle aujourd’hui « l’intelligence artificielle ». Une vidéo bidouillée si vous préferez. Puis non c’est bien une déclaration authentique, produit de l’inintelligence. (...)

Ma dernière chronique

A l’occasion de sa dernière chronique dans Enbata, Txetx retrace son parcours militant, insiste sur l’importance du Collectif, et donne quelques clefs et enseignements tirés de cette pratique longue de 45 ans.
De la permanence des travailleurs saisonniers de Garazi à Alda, en passant par Patxa, Abertzaleen Batasuna, le festival EHZ, Batera, la lutte de EHLG et la naissance de Bizi !, ou encore Euskal Moneta ou les Artisans de la paix... (...)