Patriote, mais pas que…

Face à la guerre d’Ukraine, comme abertzale, que penser, que dire, que faire ? Très bonne question ! En fait je me la suis posée après coup.
Sur le moment la réponse a fusé sans calcul, venant d’un autre horizon que celui de la patrie. (...)

Le numérique stresse la planète

Peut-on militer pour la justice sociale et la lutte contre le changement climatique et faire l’impasse sur l’impact de l’utilisation des outils numériques ? La réponse est non.
Bizi ! a donc lancé un groupe de travail pour explorer la question et adapter nos pratiques pour un maximum de sobriété. (...)

L’esprit paysan plus fort que le Covid (*)

Nous avons traversé deux années très particulières avec la pandémie du Coronavirus. Cela nous a obligé à nous adapter à la situation.
Nous tenons à rappeler l’importance de créer, au niveau institutionnel, un lieu de concertation et d’orientation pour l’agriculture et l’alimentation sur le territoire du Pays Basque. (...)

Pourquoi nous bloquons le Pays Basque nord ce samedi ?

Face au blocage de la situation des prisonniers, notamment Jon Parot et Jakes Esnal, libérables depuis plus de quinze ans, les défenseurs du processus de paix appellent au blocage complet du Pays Basque nord le samedi 23 juillet.
"Cette attitude provocatrice et politiquement irresponsable nous oblige aujourd’hui à changer de méthode, à passer à d’autres répertoires d’actions que ceux qui ont prévalu jusqu’à aujourd’hui." (...)

La plus value de la solidarité

Avec l’Obligation de quitter le territoire imposée à un jeune migrant bien intégré au Pays Basque, puis sa régularisation, se pose la question de la politique migratoire française et de sa pertinence, notamment dans un contexte économique favorable.
Pour concilier modèle économique neolibéral et politiques migratoires xénophobes, à ce jour, le gouvernement semble avoir trouver une solution : importer de la main-d’oeuvre étrangère à la demande. (...)

89 !

69 aurait été moins déplaisant. 20 de plus, c’est le nombre qui va nous coller aux basques durant cinq ans. Mais il va aussi coller à tous ces Français pour qui l’arrivée à l’Assemblée nationale française de ces 89 député.e.s d’extrême droite, populistes, réactionnaires, radicalisé.e.s, franchouillards ou néo fascistes —au choix— est plus qu’un coup de semonce.
C’est une tragédie. Une insulte à l’intelligence. Au vivre ensemble. Au concept d’humanité. C’est une régression intellectuelle. Un début d’une descente aux enfers. C’est l’histoire qui se répète. (...)