Le silence qui suit

Les poursuites contre le quotidien Egunkaria ont été définitivement abandonnées ce 14 octobre. Le quotidien basque est officiellement blanchi mais sans espoir d’indemnisation pour le préjudice subi.
Pas même auprès de la presse française qui continue à se taire.

Ziburu : trop c’est trop !

Samedi prochain, nous avons rendez-vous avec l’Histoire à 16h00 à Ciboure. Des milliers de voix pour un simple message : IKASTOLAK EZ HUNKI !
Un message au maire et à son conseil municipal ainsi qu’à tous ceux qui seraient tentés de s’attaquer aux ikastola et aux enfants de ce pays. Le Pays Basque tient à sa langue, les Ziburutar veulent une ikastola à Ciboure. A samedi.

« Alda », pour anticiper les changements en cours

A l'occasion de son dixième anniversaire en Iparralde, la Fondation Manu Robles-Arangiz a décidé de créer un groupe d'échanges, d'analyse, de réflexion et de formation, qui portera le nom "Alda".
"Alda" sera ouvert à tous-tes ceux-celles qui se retrouvent dans le parcours et la philosophie de la Fondation MRA, son logiciel abertzale et progressiste, ouvert, non-violent, radicalo-pragmatique et indépendant.

La voie de la démocratie

L’eurodéputé catalan, Josep-Maria Terricabras, figure d’Esquerra republicana de Catalunya (ERC) a bien voulu répondre à la demande d’Enbata pour éclairer la consultation référendaire du 9 novembre.
ERC, parti indépendantiste, est l’acteur majeur de ce scrutin interdit par l’Espagne.

Independentzia eta Europa

Independentziaren erreferrenduma aintzineko egunetan Europako agintari askok Europatik kanpo gelditzeaz mehatxatu dute Eskozia. Suerte berdina iragartzen diote Kataluniari, burujabetzaren bidea hartzen badu. Altabada, mehatxu horiek ez dute oinarri juridikorik.
Europar testoen oinarriak iduriz aski ahulak eta mendreak izanez, batzuk diote barnatu eta ikertu behar direla nazioarteko dretxoak ahalbidetzen dituen posibilitateak.

L’occasion d’en finir ?

Nous, militants pro-département Pays Basque, pro-Collectivité Territoriale spécifique ou encore pro-autonomie, sommes devant l’opportunité historique de porter un coup fatal au Conseil Général des Pyrénées Atlantiques, qui nous retient captif depuis 1790. Il y a la possibilité réelle, précise, constitutionnelle, légale et datée de s’affranchir de la tutelle de Pau.
Les Jacobins de gauche et les Conservateurs de droite qui redoutent la structuration du Pays Basque ont leurs projets alternatifs : 4 ou 5 EPCI en Pays Basque… La proposition du préfet Durand contient donc un piège qui me paraît évident, et il n’est certainement pas dans le « oui » à un EPCI unique pour le Pays Basque qui nous détournerait de la Collectivité Territoriale Spécifique. Le piège serait de nous pousser à répondre « non » à sa proposition, du fait d’une impossibilité d’accord sur le sujet de la représentativité.