Generoaz edo « sexu sozialaz »

Urtero bezala PAF (Pour une Alternative Féministe) elkarteak bere herri unibertsitatea antolatzen du. Aurten, generoari buruz ariko da. Datorren larunbatean, abenduaren 7an, Baionako IUT-an "Genero, sexu eta gorputzei buruz hizketan" hitzaldia emanen du pedagogian eta antropologian lizentziatua den Miren Guillo Arakistain-ek.
Ikuspegi antropologiko eta feministatik abiatuz, genero harremanak eta gorputzen arloan dabilen ikerlariak hitzaldian jorratuak eta sakonduak izanen diren gaiei buruz argitasunak eskaintzen dizkigu.

La justice européenne passe l’Espagne tousse

La décision de la Cour européenne des droits de l’homme qui annule la “doctrine Parot” gêne le gouvernement espagnol et suscite dans la rue la réprobation de la droite. Mais l’Audiencia nacional et la Cour suprême ont entériné la décision. Quarante et un prisonniers politiques basques sont déjà élargis au 26 novembre. D’autres vont suivre.
Le lobby espagnol si puissant à Bruxelles, au point de faire modifier en quelques années tout le droit européen en matière judiciaire et policière, semble avoir perdu de sa toute puissance.

Pleins feux sur l’immobilier

Ces derniers temps, la chronique a été défrayée par la destruction successive de plusieurs résidences secondaires. Les réactions qui ont suivi sur divers réseaux sociaux ou blogs de journaux appellent quelques mises au point.
Voici celle de Peio Etcheverry-Ainchart, animateur, il y a quelques années, d'un groupe de travail d'AB qui produisit un document essentiel sur le sujet.

Municipales être lisible et audible

Alain Iriart, maire et conseiller général de Saint-Pierre-d'Irube, impulse depuis deux ans une dynamique, Bil Gaiten, de présence abertzale de gauche aux élections municipales de mars 2014.
Cette initiative reprend celle de 1983, Herritarki, issue du collectif Izan qui, pour la première fois, engageait les abertzale dans la gestion municipale. Il répond aux questions d’Enbata.

Vive Napoléon !

L’Allemagne, l’Italie, La Russie, ainsi que d’autres Etats européens et sud-américains, ont déboulonné leurs tyrans modernes...
Mais «LA République», universelle par définition, continue d’honorer comme son plus grand homme l’empereur Napoléon 1er, ce tyran boutefeu qui, après avoir saccagé l’Europe de Lisbonne à Moscou, laissa la France plus petite qu’il ne l’avait prise.