Tan seguro que Podemos ?
Face à l'humiliation subie par Syriza et son leader Alexis Tsipras des mains des autres pays de la zone euro pour que la Grèce continue à bénéficier de l'aide européenne, on peut ressentir de la gêne, de la colère ou de la compassion.
Mais les bons sentiments ne mènent pas à grand chose. Si l’on doit continuer à batailler pour une Europe politique, fondée sur une fédération de peuples solidaires et unie par une constitution progressiste, à l’heure actuelle on est bien forcé de subir le diktat de cet écheveau instable, malade des égoïsmes politiques et économiques de ses principaux Etats membres.